La femme pieuvre 6 Mai 2017 par terrain vague mes doigts jeunes encore sur sa peau brune et salée la soif du feu le souffle court les yeux renversés je me vois chavirer là où ses bras si longs m’entrainent pour me déguster Francis PicabiaPartager : Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux
laboucheaoreille Un côté surréaliste dans ce poème … Je connaissais surtout Picabia comme peintre, merci de nous faire découvrir sa poésie. J’aimeAimé par 1 personne
arbrealettres Bravo… collègue 🙂 Amicalement Bon voyage en P’OASIS (j’essaie de maintenir un Index… cf ci-dessous) Ch Passeur de Mots 🙂 Blog de Poésie: http://arbrealettres.wordpress.com Index: http://pagesperso-orange.fr/coolcookie/poesie/index.html Blog de Photos: http://arbreaphotos.wordpress.com/ Blog de Musiques: http://arbreamusiques.wordpress.com/ J’aimeJ’aime
Très beau texte
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Merci…
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Un côté surréaliste dans ce poème … Je connaissais surtout Picabia comme peintre, merci de nous faire découvrir sa poésie.
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Bravo… collègue 🙂
Amicalement
Bon voyage en P’OASIS (j’essaie de maintenir un Index… cf ci-dessous)
Ch Passeur de Mots
🙂
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