le corps impatient
de la femme pieuvre
sous le drap rose
le sel
de sa peau humide
sa joue creuse
. de l’adolescent
que ses bras nombreux enlacent
peu de chose en vérité
la douceur du vélin
et un fatras de mots qu’elle gobe
comme autant de fruits
amers
Très beau texte
J'aimeAimé par 1 personne
Merci…
J'aimeJ'aime
Un côté surréaliste dans ce poème … Je connaissais surtout Picabia comme peintre, merci de nous faire découvrir sa poésie.
J'aimeAimé par 1 personne
Bravo… collègue 🙂
Amicalement
Bon voyage en P’OASIS (j’essaie de maintenir un Index… cf ci-dessous)
Ch Passeur de Mots
🙂
Blog de Poésie: http://arbrealettres.wordpress.com
Index: http://pagesperso-orange.fr/coolcookie/poesie/index.html
Blog de Photos: http://arbreaphotos.wordpress.com/
Blog de Musiques: http://arbreamusiques.wordpress.com/
J'aimeJ'aime