Tard

.

puisqu’

il t’appartient

de te pencher

sur l’abyme

tu cries

.

tu cries

dans le vent

tu cries

la saison

qui s’achève

tu as raison

tu cries

à l’oreille

tu as raison

tu cries

le poison de la bouche

tu cries

le mensonge

et la peur de vivre

.

tu as raison

Marie Dashkova

Avatar de Inconnu

A propos terrain vague

la poésie en mille morceaux

Laisser un commentaire