.
puisqu’
il t’appartient
de te pencher
sur l’abyme
tu cries
.
tu cries
dans le vent
tu cries
la saison
qui s’achève
tu as raison
tu cries
à l’oreille
tu as raison
tu cries
le poison de la bouche
tu cries
le mensonge
et la peur de vivre
.
tu as raison

