Névrose 29 décembre 2016 par terrain vague sous la lune qui perce au vent un vieux chêne montre ses fesses seize heures des enfants rient dans l’herbe jaune non loin en cercle leurs mères délibèrent – d’un buisson soudain le cri roux d’un chien sans nom Michel Berberian Partager : Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux
merci
…
J’aimeAimé par 1 personne