Vers onze heures 30 juillet 2020 par terrain vague et puis c’est le jour d’après différent – plus las peut-être les rues sont vides il manque la joie la chair le nombre de quoi trouver l’oubli sur un mur en retrait à la craie j’écris – si j’étais un arbre j’ouvrirai mes bras pour étouffer la lumière Caroline Dufour Partager : Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux
Caroline D casser le vide… et plus que d’autres jours sans doute heureuse de vous retrouver là sur ce chemin de mots … merci J’aimeJ’aime
Molto bella. Di chi è la poesia?
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Da solo. Grazie per il vostro messaggio
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casser le vide…
et plus que d’autres jours sans doute
heureuse de vous retrouver là
sur ce chemin de mots
… merci
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