En corps



enroulés

dans le vent qui mord

la falaise

de l’arrière vers l’avant

et d’un bout à l’autre du versant

ils balancent

hilares

jusqu’à l’instant

où leurs mains cédant

ils plongent au coeur

de l’ouragan

Cédric Klapisch

Avatar de Inconnu

A propos terrain vague

la poésie en mille morceaux

3 réponses

Répondre à Laurence Délis Annuler la réponse.