L’avent 5 septembre 2021 par terrain vague . sans cesse la lumière retourne à son point d’origine sont là . les mains roses et les visages ouverts les mots ignorants la gêne . ce qui prête à la partie infirme du soi Polina Washnington Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)WordPress:J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux
Caroline D et là sur ma porte la lumière de fin du jour belle par son infirmité …. (merci) J’aimeJ’aime
Caroline D raison… ? ce n’était pourtant qu’un écho à la beauté perçue… à ces mots crânement qu’il a fallu ouvrir… (merci encore) … J’aimeAimé par 1 personne
terrain vague J’ai aimé cette idée de la lumière qui est belle de par son infirmité. Aussi, la vision du « lien à » me convient mieux que celle de « mots crânement qu’il faut arracher de » car elle porte une étrange douceur… Encore merci pour tous ces échanges J’aimeAimé par 1 personne
et là sur ma porte
la lumière de fin du jour
belle par son infirmité
….
(merci)
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Vous avez raison, je vais (un peu) modifier la fin. Merci
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raison… ?
ce n’était pourtant qu’un écho
à la beauté perçue…
à ces mots
crânement
qu’il a fallu ouvrir…
(merci encore)
…
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J’ai aimé cette idée de la lumière qui est belle de par son infirmité.
Aussi, la vision du « lien à » me convient mieux que celle de « mots crânement qu’il faut arracher de » car elle porte une étrange douceur…
Encore merci pour tous ces échanges
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Merci à vous.
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