Vient la nuit

.

assis

sur un banc

le corps enroulé dans la lueur jaune

mollement

jusqu’au chant du dernier oiseau

autour

rien ni personne

juste le frisson des feuilles

et la ville qui s’éloigne

dans un silence

à moitié

Margherita Chiarva

A propos terrain vague

la poésie en mille morceaux

1 réponse

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s