Chemin des moulins 11 novembre 2020 par terrain vague dans le long couloir qui nous habite l’œil colle à l’absence des corps sans grâce y flottent en silence les murs se couvrent d’ombres fleurées sans soute sommes-nous morts sans même le savoir au cœur de l’été Matthew Beck Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour envoyer par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)WordPress:J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux