La faille 19 avril 2020 par terrain vague un feu sinue la nuit entre ces murs suscitant des visages que l’on savait effacés le tien fait partie de ceux-là. Il est teint d’ivoire et ne sourit jamais fidèle à ce qu’il n’est pas et n’aurait jamais du être Alberto Lara Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)WordPress:J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux