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allongés
sur le couvre-lit
l’un vers l’autre
à ne rien dire
s’échapper
mutité
sans partage
le voyage n’est plus
se devoir aux siens
quand tangible
une ombre vous tient
la main
Francesca Woodman
fatum
terrain vague
la poésie en morceaux
terrain vague 
J’étais venue plus tôt. Et je voulais revenir.
Relire encore une fois. Lire mieux.
Et voilà que les choses ont changé.
Beau poème que ce Destin.
Et belles photos…
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Merci Caroline…
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