Armure du matin 7 décembre 2018 par terrain vague Je ne sors plus de moi. Je traverse mes lèvres sans voir que le soleil déchire l’air des murs J’invente des couloirs où le froid s’accumule courbe jusqu’à ce cri. Claude Esteban Amy Colebrook Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)WordPress:J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux
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