(de) Journal de l’air

 

Mais demain a le même visage

un ciel peut-être un peu différent

pas assez pourtant pour qu’on comprenne

ce qu’on voudrait dire se retire

ce qui vient c’est toujours autre chose

tu ne t’y reconnais pas tu entres

dans ce qui au fond de la voix n’a

pas de voix tu restes là sans mots

comme la lumière sur les mains.

 

Jacques Ancet

 Lise Sarfati

 

 

A propos terrain vague

la poésie en mille morceaux

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