Aylan

.

à peine

étions-nous partis

que l’eau sur le sable effaçait

nos empreintes

le ciel était gonflé de larmes

maintenant

l’enfant sombrait en nous avec

ce que nous pensions

être

 .

vaincus

nous retournions vers

l’habitude

Maryam Alakbarli

A propos terrain vague

la poésie en mille morceaux

2 réponses

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