Aylan 7 juillet 2017 par terrain vague . à peine étions-nous partis que l’eau effaçait nos empreintes sur le sable le ciel était gonflé de larmes la mer sombrait nos ultimes espoirs et nous allions tête basse vers le lieu de l’habitude Maryam Alakbarli Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour envoyer par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)WordPress:J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux
Caroline D parfois écrire est de pleurer tendrement pour la suite sur l’histoire que nous sommes … J’aimeAimé par 1 personne
L’éther Nesles retour…
N-L
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parfois écrire
est de pleurer
tendrement pour la suite
sur l’histoire que nous
sommes
…
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