« Entendre la poésie comme un salut. Sauver sa vie là où se devinent des frontières : l’une tendant à la nuit, l’autre à quelque matin où le temps se fait cristal – ce sont deux faces d’un même feuillage.
Sauver sa vie. Et ce salut par la poésie serait-il signe ou accueil pour mes inconnus?
Des visages viennent d’abord. Le souvenir amène toute chose à la dignité du visage. »
Georges Emmanuel Clancier