au crépuscule
le son plaintif du bandonéon
puis l’habituel pas
de deux sur la faïence
des éclats de voix et
des mots jetés aux visages
l’impuissance de ces motifs
répétés à l’infini.
–
Jacques Bonenfant
au crépuscule
le son plaintif du bandonéon
puis l’habituel pas
de deux sur la faïence
des éclats de voix et
des mots jetés aux visages
l’impuissance de ces motifs
répétés à l’infini.
–
Jacques Bonenfant
Moi, je suis tango…
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