voyage
du souffle de la poitrine
à la mer
le temps oublie
enfin
son décompte immarcescible
et dans le vent où la langue se tord
s’incline
l’ombre
bouffie d’orgueil devine
la lumière

Bernard Drouillet
voyage
du souffle de la poitrine
à la mer
le temps oublie
enfin
son décompte immarcescible
et dans le vent où la langue se tord
s’incline
l’ombre
bouffie d’orgueil devine
la lumière

Bernard Drouillet
« Couvrir le ridicule » il y a tant à couvrir depuis quelque temps, merci terrain vague
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Merci pour votre retour
(Jacques)
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et vient
la flétrissure
sans boulier autre
que le large –
l’incendie
et la pluie
*
(merci, Jacques…)
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