L’accalmie



ne chercher

que le rythme lent

quelque part

entre la mer

et la peau

le jour se défait

en filaments pâles

l’ombre

comme en songe

se laisse frôler

et le silence si inondant

devient le cœur même

du paysage

Jean Louis Saiz

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A propos terrain vague

la poésie en mille morceaux

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