je me demande
combien de silences
il faut
pour que ton absence
se taise enfin
les ombres les arbres la pluie
le vent
me frôlent
mais le ciel est trop haut
pour y graver
le moindre nom

Dominique Hérion
je me demande
combien de silences
il faut
pour que ton absence
se taise enfin
les ombres les arbres la pluie
le vent
me frôlent
mais le ciel est trop haut
pour y graver
le moindre nom

Dominique Hérion
sans attendre la suite
le vent s’appuie
sur l’aube
ma ville est aussi
blanche que l’était hier
le ciel
arrivé si bleu ce matin
(merci)
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