neuf 17 mars 2024 par terrain vague il est là sourd tendu sous la peau il attend façonne le silence glisse jusqu’au bord du vertige il ne craint ni la nuit ni le froid et il me souffle à l’oreille – il va sans dire Markus Akesson Partager : Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux
Caroline D sans doute l’enfance en retour le détour de voilure le handicap, me dit-il celui qu’on apprivoise (merci…) J’aimeAimé par 1 personne
terrain vague le ça n’existait pas quand je dis à quoi bon se fatiguer à parler de soi-même mais voilà que par endroits fièrement avec quelques mots « le handicap s’apprivoise » (encore merci, un # reviendra bientôt vers vous) J’aimeJ’aime
Le temps révèlera le domaine de la chose…
Merci
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sans doute l’enfance
en retour
le détour de voilure
le handicap, me
dit-il
celui qu’on apprivoise
(merci…)
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et parfois même
qu’on y perde les papillons…
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le ça n’existait pas
quand je dis
à quoi bon se fatiguer à parler
de soi-même
mais
voilà que par endroits
fièrement
avec quelques mots
« le handicap s’apprivoise »
(encore merci, un # reviendra bientôt vers vous)
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