étirer
la nuit
jusqu’au premier fil
de lumière
aller
où l’ombre encore
respire
te retrouver
silencieuse
cœur ouvert
œil bleu
sous le ciel
tremblant

Jean-Louis Saiz
étirer
la nuit
jusqu’au premier fil
de lumière
aller
où l’ombre encore
respire
te retrouver
silencieuse
cœur ouvert
œil bleu
sous le ciel
tremblant

Jean-Louis Saiz
🖤
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et l’amitié

pour étirer le peu de temps
…
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Je l’ai prise pour vous en marchant, au passage, c’était il y a deux jours, je rentrais du théâtre et je montais lentement le boulevard Saint-Laurent…
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« nûment
dans la main du soir
se défaire de soi et
chanter
Hineni
Hineni »
Un grand merci à vous pour ce précieux présent…
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Je n’ai pas trouvé la référence directe
mais je l’ai écouté chanter sa noirceur…
Et là, j’ai envie de répondre
Hinenu hinenu (nous voici)…
et de vous dire merci, Jacques
pour votre précieuse présence…
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A mon tour de vous remercier (une fois encore) pour vos retours, nos échanges et du plaisir de partager ainsi l’écriture.
Ci-dessous le texte complet :
au hasard de l’hiver
naître une seconde fois
ni pleur
ni douleur inutile
nûment
dans la main du soir
se défaire de soi
et chanter
Hineni
Hineni »
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