.
tel que je le vois
le monde n’existe pas
.
celui que tu acclames
non plus d’ailleurs – le temps
où tu prédisais la fin des vanités –
ni cet autre où moisit
la voix
.
ne sont que silence et peurs
de la colère quand ça croche
en-dedans
.
.
moi
j’essaie seulement de
dire – j’aime
sans pourtant savoir
qui dort à l’étroit sous
ma peau
Robert Vincent
L’univers visible est notre caverne
mais nous manque -t-il vraiment le soleil, ou l’amour
qui soutient ces mondes ?
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Merci pour ce message…
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tout le mondain
mais le café
et la feuille de l’arbre –
et le corps qui émerge
pour se faire un matin
cependant que passe
l’hiver
…
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Vanité, vanités…
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Merci, mercis…
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