.
tel que je le vois
le monde n’existe pas
.
celui d’après non plus d’ailleurs
et sait-on vraiment ce qu’est la vie
d’avant
.
en surface
par intermittence
des choses reviennent mais
les mots majorés jamais ne remédient
au jour premier
Robert Vincent
L’univers visible est notre caverne
mais nous manque -t-il vraiment le soleil, ou l’amour
qui soutient ces mondes ?
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Merci pour ce message…
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tout le mondain
mais le café
et la feuille de l’arbre –
et le corps qui émerge
pour se faire un matin
cependant que passe
l’hiver
…
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Vanité, vanités…
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Pour plein de raisons, ce texte a (pas mal) évolué depuis sa mise en ligne. D’où la fin des vanité(s)…
Encore merci pour ce retour !
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sans la « colère crochée »
ni la « blancheur de la voix »…
évolué, vous dites?
et moi qui sais à peine
jeter un oeil en arrière
(merci)
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le soir
d’on ne sait où
une voix parfois insuffle
un passage à ceux ou celles qui remontent
l’hiver
(merci)
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