sur le sentier
qui monte
à l’ombre des arbres
je vous attends
le jour s’efface
à pas lents
votre visage
silencieux
flotte dans l’air
peut-être
êtes-vous simplement
sortie
Can Dağarslanı
Rue a disparu
terrain vague
la poésie en morceaux
terrain vague 
ces esses mystérieux qu’
on laisse passer
sans les voir non plus
quand pourtant l’évidence
(merci)
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