Axiome 20 décembre 2021 par terrain vague assis au pied de son propre orgueil le poème cherche une langue pour nommer la nuit se referme sur moi les mots qui viennent s’affaissent avant d’atteindre le papier . Florent van Roeckel Partager : Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux
terrain vague il y avait une rivière qui coulait derrière chez nous on voyait l’été ce que l’hiver bâchait : un lit de pierres que l’on pouvait traverser à pied … J’aimeAimé par 1 personne
Et ce matin,
je prendrais bien
une rivière.
…
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il y avait
une rivière qui coulait derrière
chez nous
on voyait l’été ce que
l’hiver bâchait
: un lit de pierres
que l’on pouvait traverser
à pied
…
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