un jour
sans cause
sans nom
la porte cède
l’hiver entre
d’un seul coup
l’air tranche
la chambre se retire
le corps se blottit
contre sa propre épaule
plus rien ne tient
on est
ce qui reste quand
tout se tait
un jour
sans cause
sans nom
la porte cède
l’hiver entre
d’un seul coup
l’air tranche
la chambre se retire
le corps se blottit
contre sa propre épaule
plus rien ne tient
on est
ce qui reste quand
tout se tait
J’aime beaucoup. Vivre pour ne pas vivre, belle formule.
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la porte s’ouvre et c’est l’hiver
avec son vent
et mon souffle et ma vie
qui s’engouffre dedans
…
merci
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à peine avions-nous rassemblé le peu qu’il reste, que sonna l’heure de pleurer…
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