.
ton œil se lasse
des vues de la maison
qui nous habite
il change d’âge et de saison
veut retrouver l’enfant qui voyait
la mer baller sous la ligne
d’horizon
.
de l’impossible voyage
vers l’avant
.
ton œil se lasse
des vues de la maison
qui nous habite
il change d’âge et de saison
veut retrouver l’enfant qui voyait
la mer baller sous la ligne
d’horizon
.
de l’impossible voyage
vers l’avant
peut-être d’avoir vu
n’y voir qu’une fois de plus
le jour ou la saison
le ciel, le vent
de quoi souffler le sable
à grandeur d’horizon
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à travers le tissu calcifié de l’enfance… Merci
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