Homme et nature morte 11 janvier 2020 par terrain vague La nature morte ferme encore plus profond les paupières quand quelqu’un au mur accroche la mer pour s’absorber dans la nage Ooka Makoto Julia Filipovscaia Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)WordPress:J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux