Le corridor

j’entrouvre le rideau

dans le ventre céleste

où nos sangs d’humains se mêlent

je marche vers la cuisine

toujours ce même rêve

d’embrasser l’insatiable sans y perdre le vent

et je pense à la mer

étendue et ouverte

sauvage et pleine d’ombre

Caroline Dufour

(texte et image)

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A propos terrain vague

la poésie en mille morceaux

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