(de) Pollens

.

Dans l’amour, sa première demeure,

le temps se promène avec un corps de rose,

les roses, avec un corps de lumière.

Dans le temps, son autre demeure,

le poussière se promène avec des pieds de vent,

le vent avec des pieds de poussière.

.

Adonis – Mémoire du vent

 Christopher McKenney

 

A propos terrain vague

la poésie en mille morceaux

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