Niji Fuyuno 26 octobre 2016 par terrain vague Je ne sais les yeux de qui dessinaient cette courbe-là sur ma véranda il y avait le filet éphémère de la lueur du soir Niji Fuyuno Marc Chagall Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)WordPress:J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux