Mourir d’aimer 14 avril 2016 par terrain vague allongée sur le coté tu grattes les peaux mortes d’une jambe efflanquée une lumière blanche filtre à travers les volets nos ombres sont inapparentes nous entendons de temps en temps le bruit d’un pas feutré derrière la cloison Edward HopperPartager : Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux