un chat
inconscient
du poids des heures –
pas Kawamura
un autre
s’étire sur le seuil de porte
je lui envie son silence
sa grâce
il sait
moi j’apprends
le vent chasse le gris
les feuilles mortes jonchent le sol
peut-être savent-elles
elles-aussi

Kono Bairei
…
tout autant que la neige
qui depuis cette nuit
a pris d’assaut ma ville
…
(merci, Jacques)
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Traverser l’instant et paradoxalement l’immobiliser de beauté
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