dix 22 mars 2024 par terrain vague sous l’a-vif de la plaie je deviens peu à peu ce que je redoute l’hiver creuse la lumière les jours avancent jusqu’au silence mes yeux brûlent à force d’obstination Nadine Bourgne Partager : Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux
Caroline D c’est le tout encore de l’hiver, l’enfoui l’à moitié mort qui se souvient d’ hier (merci) J’aimeJ’aime
J’aime beaucoup.
Merci!
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c’est le
tout encore
de l’hiver, l’enfoui
l’à moitié mort
qui se souvient d’
hier
(merci)
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belle évocation de soi, qui résonne en … moi? avec obstination.
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