deux 25 janvier 2024 par terrain vague un visage resurgit caché sous la peau bouche froncée de peur œil noyé jusqu’à l’effacement sueur tiède et rance la joue appuyée sur une main – simple prothèse qui pend au bord d’un creux Ataa Oko Partager : Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux
Caroline D et aussi en dessous le cri de ça – c’est le même espace flou où vivent les silences … J’aimeAimé par 1 personne
terrain vague Suis-je celui qui parle ou est-ce que je parle pour celui assis là ? (meRci) J’aimeAimé par 1 personne
Caroline D Comment le dire moi qui n’y vois jamais que peu si peu de choses (mErci, Jacques) J’aimeAimé par 1 personne
terrain vague « Il y a toujours un autre face à un «moi» (Paul Ricoeur). Un autre qui veut pour moi, qui dit pour moi, qui décide pour moi mais un autre qui ne veut pas parler avec moi… J’aimeAimé par 1 personne
et aussi en dessous
le cri de ça –
c’est le même espace flou
où vivent les silences
…
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Suis-je
celui qui parle ou est-ce que je parle pour
celui assis là ?
(meRci)
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Comment le dire
moi qui n’y
vois
jamais que peu
si peu
de choses
(mErci, Jacques)
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… sinon que la question
se suffit à elle-même…
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« Il y a toujours un autre face à un «moi» (Paul Ricoeur). Un autre qui veut pour moi, qui dit pour moi, qui décide pour moi mais un autre qui ne veut pas parler avec moi…
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💛
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