.
dans le lieu
où la voix se tait
le venir tombe des mains
.
de quelques mots
écrits sur le verre
indubitablement
.
il advient
ce que le corps ne savait
défaire
.
et l’ombre
à nouveau de se manifester
entière
.
de qui
la vie s’abime
parfois on préfère
le néant


où la voix ne peut plus
et ces mots qu’on enfile
pour y prendre la vague
_
à mesure des jours
y faire entrer le vent
le temps… le corps
subir… pressentir
_
merci d’y écrire
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