« Je te perdrai comme on perd un clair
jour de fête : – je le disais à l’ombre
que tu étais dans le vide de la pièce – attentive,
ma mémoire te chercha en ces années
florissantes, un nom, une apparence : pourtant,
tu te dissiperas et ce sera toujours l’oubli
de nous dans le monde. »
. Tu regardais le jour,
évanoui dans le crépuscule, je parlais
de la paix infinie que le soir
étend sur les fleuves à la campagne.
Alfonso Gatto
merci…
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je reviendrai ici…
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