Le céleste est parti voici longtemps,
Chevauchant la célèbre grue jeune.
De la légende rien ne demeure, sinon
La tour de la grue jaune.
La grue jaune s’en est allée sans espoir de retour
Vers les nuages blancs dérivant,
Sur des milliers d’années.
Le reflet des arbres verdoyants de Wuhan
Si clairs dans les vagues luisantes du soleil,
L’herbe grasse de l’ile du perroquet
Au crépuscule – où est ma maison ?
La brume mêlée de fumées sur le fleuve
Ajoute au regret
Cui Hao
Armand Schultes
« Dans l’encre fragile
on laisserait une seule poussière,
la plus cassante,
aveugler nos ombres,
on entendrait nos pas
tomber un à un
au pied de personne,
seul
le tremblement des étoiles
nous renseignerait sur nous-mêmes. »
Suzanne Jacob
J’aimeAimé par 1 personne
Comme c’est beau. Limite on fait aussitôt un complexe…
Merci
J’aimeAimé par 1 personne
Oui… Et oui… Merci à vous, Jacques.
J’aimeJ’aime