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Jours de pluie
Derrière mes barreaux je regarde
La fin des fleurs
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Et voici le poème
La belle écume des choses
Qui tuent
Qui luttent contre la mort
Qui aiment au galop
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Un lieu sûr c’est
Comme prier
Les mains coupeées
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La tempête a laissé au jardin
Ce que j’assemble ici :
Un grand vide que le cœur emplit
Mais j’entends la nuit savez-vous
J’entends la nuit qui bouge
Dans le noir
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Véronique Wautier
R. Michael Walker
la nuit, le noir
autant que les saisons
le monde est vaste
un poème, le ciel
(merci)
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j’y reviens et j’y reviendrai
qu’il est beau ce poème –
comme ces rivières que j’aime
–
(merci)
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C’est un peu comme avec la peinture, tu vas voir une exposition d’un grand maître et en retournant chez toi, tu n’oses même plus saisir les pinceaux. Mais bon, avec l’âge, sans humilité…
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Oui, c’est vraiment ça.
Merci encore, Jacques.
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Noir et lumineux à la fois
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Merci…
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