J’ai cueilli ce brin de bruyère
L’automne est morte souviens-t’en
Nous ne nous verrons plus sur terre
Odeur du temps brin de bruyère
Et souviens-toi que je t’attends
Guillaume Apollinaire
–
Photo AFP
L’adieu
terrain vague
la poésie en morceaux
terrain vague 
Ah si ces barbares avaient lu Appolinaire…
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… Apollinaire. Ce serait encore mieux. (à corriger, pour vous et moi, sur mon commentaire précédent, merci)
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Je suis bien d’accord avec vous. Merci et mille excuses pour la coquille
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Ça arrive à tout le monde…
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