.
à ne plus finir
la façon du visage
dans le miroir de l’eau
avec cet œil en proie à lui-même
plus méfiant qu’une bouche
et la voix forcément qui n’est pas
la mienne
Archeno
Telle
terrain vague
la poésie en morceaux
.
à ne plus finir
la façon du visage
dans le miroir de l’eau
avec cet œil en proie à lui-même
plus méfiant qu’une bouche
et la voix forcément qui n’est pas
la mienne
Archeno
terrain vague 
tel un lac
abandonné au temps
n’y être jamais
que l’âme
…
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Très beau poème ! La dernière strophe est particulièrement évocatrice. La parole révèle notre identité et la transpose dans un autre registre.
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Merci pour lui ou pour l’autre…
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