.
ni la ville
par instant quand
la porte s’ouvre
.
ni la voix
sucrée de la femme
qui rit au verso
.
ni les belles épices
qui baignent au fond de
l’assiette creuse
.
ni l’ombre
silencieuse qui dine à l’autre
bout de moi
.
ni la ville
par instant quand
la porte s’ouvre
.
ni la voix
sucrée de la femme
qui rit au verso
.
ni les belles épices
qui baignent au fond de
l’assiette creuse
.
ni l’ombre
silencieuse qui dine à l’autre
bout de moi