de ta bouche
la fumée qui grossit
le frimas parisien
ciel de novembre
l’acier grince
et sous le ventre
des chevaux de bois
l’herbe grise
s’enroule –
la robe ivoire
du demi-sang
qui t’emporte
son regard
halluciné

de ta bouche
la fumée qui grossit
le frimas parisien
ciel de novembre
l’acier grince
et sous le ventre
des chevaux de bois
l’herbe grise
s’enroule –
la robe ivoire
du demi-sang
qui t’emporte
son regard
halluciné
