enroulés
dans le vent qui mord
la falaise
de l’arrière vers l’avant
et d’un bout à l’autre du versant
ils balancent
hilares
jusqu’à l’instant
où leurs mains cédant
ils plongent au coeur
de l’ouragan

Cédric Klapisch
enroulés
dans le vent qui mord
la falaise
de l’arrière vers l’avant
et d’un bout à l’autre du versant
ils balancent
hilares
jusqu’à l’instant
où leurs mains cédant
ils plongent au coeur
de l’ouragan

Cédric Klapisch