quelque chose
s’attarde
dans le sillon de l’œil
un souffle d’ombre
peut-être
la peur
la peur de ces lueurs
confusément
qui se posent
se mêlent
jusqu’à l’érosion

Jean Fautrier
quelque chose
s’attarde
dans le sillon de l’œil
un souffle d’ombre
peut-être
la peur
la peur de ces lueurs
confusément
qui se posent
se mêlent
jusqu’à l’érosion

Jean Fautrier