Trois haïkus de Kazuko Nishimura Je taille une rose redressant sa tige L’azur de mer fonce. La terre commence à faner Les gens s’en vont. Les arbres dépouillés murmurent-ils Kazuko Nishimura Clay Maxwell Jordan
Trois haïkus… Sans chapeau l’averse va-t-elle me surprendre ? diantre ! diantre ! Poux, puces et mon cheval qui pisse tel est mon chevet Année après année les singes qu’on affuble de masques de singe Bashô Hokusai