s’il
convient maintenant d’ouvrir les yeux,
ce
sera comme on remonte du fond d’un lac,
brasses
lentes de la pensée,
vers
la surface enfin
où nous attend d’une seule vue
l’étrangeté
des commencements.
Patricia Castex-Menier
Marine Lanier
s’il
convient maintenant d’ouvrir les yeux,
ce
sera comme on remonte du fond d’un lac,
brasses
lentes de la pensée,
vers
la surface enfin
où nous attend d’une seule vue
l’étrangeté
des commencements.
Patricia Castex-Menier
Marine Lanier