Oyonnax

.

caresser

de l’index la peau du pavé

jusqu’à voir la terre

ciller

lentement suivre

le geste une fois ou deux

sans l’à-coup pour

ne pas casser l’immeuble

les jardins ouvriers

ni ces rues ceintrées où lorgne

l’esprit du passé

Paul End

A propos terrain vague

la poésie en mille morceaux

2 réponses

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s