Sur mars 11 mars 2021 par terrain vague . sans cesse sous la ligne de pente jeter les pieds au devant de soi . tel l’enfant qui titube au réveil le souffle court et du sable dans les yeux . vers l’endroit qui révèle au regard la mer Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)WordPress:J’aime chargement… A propos terrain vague la poésie en mille morceaux
le si parfait de l’imparfait
…
merci
J’aimeJ’aime