Parc du Portugal

.

le chant des oiseaux

que le soir agite

 

à peine un souffle

sur les ombres –  sais-tu que nous sommes presque

un millier assis au pied de la maison qui dort

les rideaux tirés

 

une voix lit des vers

et nos mains se tendent librement

vers le corps du poème 

Jeremy Smith

A propos terrain vague

la poésie en mille morceaux

12 réponses

  1. J’en ai pris quelques-unes depuis ce poème
    quand je passais près de là.
    Je me disais qu’il finirait par s’en trouver une
    que j’aurais envie de vous envoyer.
    Celle-ci le fait pour moi. Prise il y a quelques jours.
    Elle sera donc un peu aussi un souvenir de l’ancien titre…
    Et j’en profite pour vous souhaiter une belle soirée
    et tout le meilleur.
    Et pour vous dire merci pour ce blog qui m’importe.
    Pour vos poèmes d’abord.

    J’aime

    1. Je viens de voir votre réponse. Vous l’aviez envoyée en tant que commentaire, alors elle ne s’est pas rendue à moi au moment où vous l’avez envoyée. Heureusement pour ces balades chez vous, j’ai pu la trouver.
      Je suis heureuse que vous soyez touché. Cette chasse à la photo m’a fait plaisir.
      J’en profite pour vous demander :
      Dans Chemin des moulins, vouliez-vous vraiment écrire « soute »? Ou « doute?
      Je n’ai pas voulu vous demander tout de suite, mais le doute subsiste dans mon esprit…
      Oh, et dans les beautés du hasard : je viens d’acheter d’occasion un livre de poèmes de LC cette semaine. Et dedans se trouve Thousands… Et sa dernière phrase, qui me touche tant : « I am one of the fakes, and this is my story. »

      Aimé par 1 personne

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