Pise lointaine, sirocco
bohémien de la plaine
et l’onde au pont
et les feuilles et les troncs
vifs
Tous ces jardins que nous ne connaissions pas
et qui nous reconnaissent, ces arbres obscurs
et si grands qui se rapprochent, se laissent
toucher, comme si il était possible
de toucher la terre, le temps, la vie
Roberto Veracini